Bivouac en Maurienne
Bonsoir,
J'avais déjà dormi en camping sauvage. C'était en Norvège, sur les îles Lofoten, je m'en rappellerai toute ma vie. Nous avions planté la tente au bord d'une falaise devant l'océan. Nous étions parti au mois de Juillet et nous pouvions voir alors le soleil quasiment pendant 24h. Choisir son emplacement, planter sa tente, s'installer, faire un feu, cuisiner une gamelle d'haricots et manger ; le tout en pleine nature et face à un coucher de soleil, c'était une des plus belles expériences de ma vie.
J'ai toujours gardé en tête ce sentiment de vouloir renouveler cette expérience. Il y a quelques jours nous avons pu profiter de quelques en montagne à Bonneval sur Arc. Ils annoncaient très beau temps. Nous avons donc décidé de dormir en pleine montagne. Pour que cela vaille le coup, nous avons gravi un petit sommet, l'Ouille Alegra, pas très loin de la frontière italienne. Puis en descendant nous avons trouvé un patit coin parfait pour planter la tente. La journée avait été dure.
7h du mat en pleine montée
Au sommet de l'Ouille Alegra, la vallée de la Maurienne en contrebas.
J'avais déjà dormi en camping sauvage. C'était en Norvège, sur les îles Lofoten, je m'en rappellerai toute ma vie. Nous avions planté la tente au bord d'une falaise devant l'océan. Nous étions parti au mois de Juillet et nous pouvions voir alors le soleil quasiment pendant 24h. Choisir son emplacement, planter sa tente, s'installer, faire un feu, cuisiner une gamelle d'haricots et manger ; le tout en pleine nature et face à un coucher de soleil, c'était une des plus belles expériences de ma vie.
J'ai toujours gardé en tête ce sentiment de vouloir renouveler cette expérience. Il y a quelques jours nous avons pu profiter de quelques en montagne à Bonneval sur Arc. Ils annoncaient très beau temps. Nous avons donc décidé de dormir en pleine montagne. Pour que cela vaille le coup, nous avons gravi un petit sommet, l'Ouille Alegra, pas très loin de la frontière italienne. Puis en descendant nous avons trouvé un patit coin parfait pour planter la tente. La journée avait été dure.
7h du mat en pleine montéeAu sommet de l'Ouille Alegra, la vallée de la Maurienne en contrebas. Du coup le soir j'étais plutôt claqué. Je n'avais pas vraiment la force de profiter de la montagne. J'avais juste le courage de la contempler et de profiter du silence.
Le soir, je m'endormais comme une masse vers 20h30 au chaud dans mon duvet. Mis à part un chamois curieux et maladroit venu faire un tour autour de la tente en pleine nuit, tout ce passa parfaitement bien.
Le lendemain, le soleil était au rendez-vous. J'étais d'attaque pour commencer par un petit déjeuner en face de la pointe Charbonnel.
Je ne ferai que la regarder car cette pointe est mortelle et je préfère l'admirer de loin.
En descendant, je pensai à cette nuit passée en montagne et à celle passée au nord du cercle polaire et je me disais que la nature était bien belle et que cela valait le coup d'aller vers elle.
Le soir, je m'endormais comme une masse vers 20h30 au chaud dans mon duvet. Mis à part un chamois curieux et maladroit venu faire un tour autour de la tente en pleine nuit, tout ce passa parfaitement bien.
Le lendemain, le soleil était au rendez-vous. J'étais d'attaque pour commencer par un petit déjeuner en face de la pointe Charbonnel.
Je ne ferai que la regarder car cette pointe est mortelle et je préfère l'admirer de loin.
En descendant, je pensai à cette nuit passée en montagne et à celle passée au nord du cercle polaire et je me disais que la nature était bien belle et que cela valait le coup d'aller vers elle.